SHONAGÔN AU CHECK POINT LE 20-10-2015

J’adore

Les soupirs

De la Princesse

Et de son Prince,

Mutants et nocturnes,

Aux voix finalement Sud Africaines

Dans leur château rythmique liquide

Aux Architectures

De Verre

Et d’Eau

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Voix

Qui finit par

Apprivoiser

Les Machines,

Les rendre

Humaines par

Contamination, Capillarité vocale,

Émotionnelle.

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Puis le château s’envole

Vers les Etoiles

Comme tombe la neige!

(car éléments montants,

autres descendants)

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Après peut être la basse Afro

de « Once In a Life Time »

des Talking Heads

sur “Remain In Light”

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Des Tablas

Indiens

Servent

De piste

de Décollage

Lumineuse

Schonagon_JD_Maysoune.jpg

J’adore le

Rapport

Subtil entre

Les gouttes sonores,

Montantes

Et descendantes,

Aïgues célestes qui font rêver

La tête

Aux étoiles

Et Basses Descendantes des rythmes

Qui font danser

Jean Daniel BURKHARDT

SHONAGON II LAST RESORT 27 10 2015-12-03

Shonagon était précédée du Live Coding SVDK Immersif et liquide, puis rythmique, qui rejoint le liquide en architecturant par orgues caressants. Mais soudain arrivent les Alarme, SONNERIES, SONARS, WARNING, DANGER ! Y a comme un bug dans la Mess(e) ! Ça essaie de parler mais hurle métal, orgue surnaturel de chansons liturgiques, puis danses tribales sur claviers bullant furieux !

Shonagon commence comme on entre dans une grotte par flots et courants.

Samba sous-marine où siffle une vague et soupire une bête dans la grotte,

Tandis que des hippocampes tapent des écailles en clavé,

Sur lesquelles les vagues se fracassent en remous dubs !

Un chœur de grenouilles aigrelettes

Et une voix plus masculine

Lui répond,

Les bullent montent et deviennent un chant Amérindien,

Un tipi qui s’érige en miroitement techno

EH EH EH fait la grenouille,

La voix masculine reprend le Rituel.

L’autoroute bullée accélère son trafic en Gospel robotique de rames et se referme.

Rythme Reggae, percus sur les rambardes frappés par les poissons

OOOOOOOOOh

Les indiens arrivent,

Sortent des grottes comme des bulles,

Ralentissent le trafic avec des bulles/sons

Les chihouhououahouah

Des premiers marins clapotent.

Un planisphère émerge sur l’écran

Montrant le Pôle Nord enneigé

C’est par le détroit de Behring que passèrent les Indiens d’Inde vers l’Amérique aux temps

Préhistoriques !

Ça bubulle

Dans la mare

Aux Mythes

Un combat de Kung Fu Machines/Hommes s’engage

Aux coups assourdis/alourdis par l’eau.

Architectures et Danses Africaines sur l’écran

Et des voix Soul Orientales autour d’un ondolectro

Qui S'antour d’un Clavier/Qanûn

Puis Grave New Wave

Le New Order des Talking Heads Dépêchent la Mode des Sisters Of Mercy

en échos sur des soupirs.



Mais suit un galop zarb de cheval marin.

Le Kung Fu au fond de la Jungle

En Feu sur l’écurie.

Une Tortue luth

Joue les X-Ors!

Un petit être lumineux des fonds marins a appris la mélodie des cordes et la

Démultiplie en bulles,

La transmet aux vagues et aux algues qui la font résonner comme des orgues d’eaux !

La harpe d’une corde unique résonne sur les rumeurs indiennes

Et le grondement d’un volcan sous-marin,

Jouée peut-être par cette jolie voix qui suit sur un rythme indien de tablas !

Sur l’autoroute de New Delhi, une moto va prévenir du combat

MAD MAX dans le désert du Kalahari !

Mais un Diamant luit et résonne dans le désert!

Au Centre de la Course Spatiale, la harpiste chanteuse monocorde

Va remettre le prix

Sur la Mer écailleuse de l’écran,

Le Désert se dissout en fractales liquides, spectrales,

Devient la Mer

Et les Etoiles Galactiques s’ouvrent sur La Terre !

Bref tout cela est SOUSMAR’INDIEN !

Jean Daniel BURKHARDT